Arnaud Viala, le président de la communauté de communes Lévezou-Pareloup a posé la première pierre du futur centre aquatique intercommunal de Salles-Curan.
Afin de répondre à l’évolution des modes de vie, à l’attente des populations, au besoin de service public et pour renforcer l’attractivité du territoire, la communauté de communes de Lévezou-Pareloup s’est engagée dans la construction d’un centre aquatique intercommunal à Salles-Curan. Les travaux ont commencé voilà quelques mois et se poursuivront jusqu’au second semestre 2025, avec l’ouverture de l’équipement.
Ce centre aquatique de proximité, attractif et incitatif, « ambitieux mais réaliste, modeste mais qualitatif », selon les qualificatifs de la collectivité, poursuit plusieurs objectifs. Il s’agit d’abord de favoriser l’accès pour tous (grand public, scolaires, clubs) à l’apprentissage et la pratique de la natation et des activités aquatiques. Le centre aquatique jouera aussi un rôle important dans l’animation touristique du territoire et il a été conçu pour pouvoir s’ouvrir à la pratique d’activités de santé, de rééducation, de lutte contre les effets de l’âge.
Le futur centre comprendra un bassin éducatif d’activités et de nage de 25m par 10, un bassin balnéo-ludique de 90m2, un espace de bien-être de 140m2 (sauna, hammam, douches massantes, grotte de sel, zone de soins corporels, zone de relaxation, des espaces extérieurs d’agrément et d’activités sur 2500m2 (aire de jeux, solarium, plages engazonnées, petite restauration…).
Le centre aquatique a fait l’objet d’une réflexion approfondie pur en garantir l’insertion dans le site, ne pas porter atteinte au patrimoine architectural voisin, réduire au maximum l’impact du chantier et du bâtiment sur l’environnement.
Le centre aquatique intercommunal représente un investissement total de 10 millions d’euros, avec des soutiens financiers importants de l’Europe, de l’Etat, de la Région, du Département, de l’Agence nationale du Sport…
Parmi les entreprises du groupement de constructeurs titulaire du marché et leurs sous-traitants, la majorité est sinon locale, du moins régionale.